By admin 
Cet ancien cadre supérieur de la BEAC persiste et signe dans ses prophéties que Dieu a choisi Paul Biya pour rester Président de la publique ; il a donc « saisi le Conseil Constitutionnel pour qu’il constate que Dieu a déjà choisi Paul BIYA et que nous devons nous plier à la volonté de Dieu », en vue d’une modification constitutionnelle avant la tenue d’une élection présidentielle au Cameroun.
Lire l’intégralité de son courrier adressé au Président du Conseil Constitutionnel le 04 juin 2025
Douala, le 04 Juin 2025
A MONSIEUR
LE PRÉSIDENT DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL
YAOUNDE – CAMEROUN
Requête aux fins de VOIR DÉCLARER contre le Président de la République et le Gouvernement, le Président du Sénat et le Président de l’Assemblée Nationale, que les dispositions combinées des articles 6 alinéa 6 de la constitution et 86 alinéa 1 de la loi n° 2012/001 du 19 avril 2012 Portant code électoral, modifiée et complétée par la loi n°2012/017 du 21 décembre 2012 qui habilitent le Président de la République à convoquer le corps électoral pour l’élection présidentielle sont inconstitutionnelles eu égard AU STATUT SACERDOTAL du Président Paul BIYA depuis fin juin 2024, élevé « PROPHÈTE DE DIEU DE MÊME RANG QUE MOÏSE » avec toutes les conséquences prescrites par la loi de Dieu dans la BIBLE sur la protection de ses prophètes, notamment les versets 18 à 22 du chapitre 18 du livre de Deutéronome, 22 et 23 du chapitre 3 du livre des Actes des Apôtres et 5b du chapitre 14 de la première lettre de l’Apôtre Paul aux Corinthiens, ET ORDONNER EN CONSÉQUENCE LA SUSPENSION DE L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE ET LA RÉVISION DE LA CONSTITUTION dans le strict respect du plan de DIEU pour l’accomplissement de la prophétie annoncée le 21 juillet 1990 par le Prophète-Président Paul BIYA au micro de Yves MOUROUSI de Radio Monté Carlo, « que l’histoire retiendra de lui l’image de l’homme qui a apporté à son pays (…) la prospérité »
Monsieur le Président,
LE REQUÉRANT A L’INSIGNE HONNEUR DE VOUS EXPOSER :
Que les développements qui suivent vont attester à la fin de ce qu’il vous saisit par la présente requête tant en qualité de mandataire de l’Éternel Dieu qu’en qualité de mandataire du Président de la République du Cameroun, Son Excellence Paul BIYA, aux fins de voir le Conseil Constitutionnel constater tout d’abord que depuis fin juin 2024, le Président Paul BIYA a été élevé au statut sacerdotal de PROPHÈTE DE DIEU DE MÊME RANG QUE MOÏSE, rang le plus élevé dans la hiérarchie des ordres sacerdotaux qui revient ainsi après plus de 3200 ans depuis que Moïse a quitté le peuple hébreu aux portes de la terre promise, vers l’an 1200 avant Jésus-Christ ;
Qu’en effet, le 09 juin 2004, le Président Paul BIYA avait lancé un défi contre la mort et avait annoncé, avec une assurance certaine et une ferme autorité, que dans une vingtaine d’années il sera toujours en vie et à la tête du Cameroun, en déclarant notamment au micro de Charles NDONGO de la CRTV ce qui suit: « Apparemment des gens s’intéressent à mes funérailles. Eh bien, dites-leur que je leur donne rendez-vous dans une vingtaine d’années » ;
Qu’alors qu’il était déjà un vieillard de plus de 70 ans, le fait annoncé le 09 juin 2004 est arrivé, puisque Paul BIYA est toujours là, en 2025;
Que or les versets 18 à 22 du chapitre 18 du livre de Deutéronome dans la BIBLE disposent: « Le Seigneur dit à Moïse: C’est un prophète comme toi que je leur susciterai du milieu de leurs frères; je mettrai mes paroles dans sa bouche, et il leur dira tout ce que je lui ordonnerai. Et si quelqu’un n’écoute pas mes paroles, celles que le prophète aura dites en mon nom, alors moi-même je lui en demanderai compte. Mais si le prophète, lui, a la présomption de dire en mon nom une parole que je ne lui aurai pas ordonné de dire, ou s’il parle au nom d’autres dieux, alors c’est le prophète qui mourra. Peut-être te demanderas-tu: « Comment reconnaîtrons-nous que ce n’est pas une parole dite par le Seigneur? » Si ce que le prophète a dit au nom du Seigneur ne se produit pas, si cela n’arrive pas, alors ce n’est pas une parole dite par le Seigneur, c’est par présomption que le prophète l’a dite. Tu ne dois pas avoir peur de lui. » ;
Que le Président Paul BIYA qui est toujours debout en 2025, soit vingt-un (21) ans depuis le défi lancé contre la mort sur vingt (20) ans le 09 juin 2004, donne ainsi la preuve de ce qu’il n’avait défié la mort ni par présomption, ni au nom d’autres dieux, sinon il serait mort ;
Que part ce fait annoncé le 09 juin 2004 qui s’est ainsi accompli vingt ans plus tard puisqu’il a gagné son pari contre la mort et est toujours debout, Paul BIYA nous a donné la preuve de ce qu’il est un prophète de Dieu ;
Que ce n’est pourtant pas ce fait d’être prophète de Dieu qui l’a élevé au rang de Moïse ;
Qu’en effet, alors que les Camerounais se plaignent de la longévité du Président Paul BIYA au pouvoir pendant quarante (40) ans, c’est pourtant cette longévité de quarante (40) ans de règne au pouvoir du Prophète Paul BIYA qui fait de lui, avec d’autres détails que je vais préciser, l’égal de Moïse devant Dieu ;
Que dans onze (11) livres non encore corrigés et donc non publiés, qui lui ont été inspirés par le Seigneur Dieu comme constituant les différents pans de son plan d’intervention pour nous libérer contre les maux qui minent notre société et nous accablent, le Seigneur Dieu lui a tout d’abord révélé que son intervention dans les affaires de notre pays est l’exhaussement de prières de huit (08) sources différentes ;
Que trois titres sur les onze livres ont été communiqués à Monsieur le Secrétaire Général du Comité Central du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC) à YAOUNDE le jeudi 07 Novembre 2024, annexés à la copie d’un message daté à Yaoundé le 06 novembre 2024 qu’il avait adressé de la part du « Seigneur Dieu aux Populations du Cameroun à l’occasion du 42e Anniversaire de son OINT S.E. Paul BIYA à la tête de notre pays » ;
Que pour votre complète et entière édification sur ce point, il vous communique ci-joints copie de cette lettre adressée à Monsieur le Secrétaire Général du Comité Central du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC) à YAOUNDE le jeudi 07 Novembre 2024, avec un exemplaire de chacun des trois livres qui y étaient annexés, dont :
1°/ LE LOUP EST DANS LA BERGERIE (Volume introductifà la Campagne d’Information et de Formation à la Pratique de l’Audit bancaire aux fins de construire « Le Cadre Amiable » institué par le Président Paul BIYApour Redresser les Banques et les Microfinances actuellement en faillite au Cameroun et dans la CEMAC et menacées d’une mise en liquidation qui peut intervenir à tout moment et Restituer aux Populations leurs épargnes bloquées dans les Banques et les Microfinances qui ont fermé leurs portes dans nos pays;
2°/ LE LOUP EST DANS LA BERGERIE (Volume 1): Des missions spécifiques réservées à S.E. Paul BIYA, Président de la République du Cameroun: réformer le système judiciaire et ouvrir dans le RDPC le courant économique « Cadre Amiable Prophétique de Paul BIYA » &
3°/ « Un message de Dieu aux Evêques du Cameroun: QUI EST PAUL BIYA POUR DIEU? Découvrir qui est Paul BIYA pour Dieu c’est découvrir quel est le plan de Dieu pour le Cameroun, et c’est un impératif et une urgence pour réussir la transition entre le régime du Président Paul BIYA à la tête du Cameroun et le régime qui suivra, « car les dons et l’appel de Dieu sont irrévocables »(Ro.11,29) » ;
Que dans le « Volume 1 de LE LOUP EST DANS LA BERGERIE » qui traite de la contribution du Prophète-Président Paul BIYA aux charges d’exécution du plan de Dieu pour construire le Cameroun émergeant, vous voudrez bien lire, sous le chapitre intitule à la page 55 « « Fils spirituel » du Président Paul BIYA, je défends le bilan économique de mon « père spirituel » et l’assiste à construire « le cadre amiable » pour rendre justice aux épargnants et impulser le décollage économique de notre pays », l’extrait de cette page 55 à la page 66 dans lequel un paragraphe qui commence au pied de la page 61 devrait attirer votre attention :
« Nous sommes presqu’au terme de ce temps messianique où il va bientôt boucler ses quarante (40) ans de règne que l’Eternel Dieu, sur le trajet de sa révélation à l’humanité depuis Moïse jusqu’à ce jour, n’aura accordé en 6 000 (six mille) ans et plus de son histoire avec l’homme, qu’à six (06) de ses serviteurs : cinq (05) sous l’Ancien Testament que sont Moïse, Éli le juge, le premier roi d’Israël Saül, le roi David et le roi Salomon, et Paul BIYA, le seul sous le Nouveau Testament. Pour Paul BIYA comme pour Moïse, ce délai court à partir du soulèvement du peuple contre l’oint de Dieu, le 06 avril 1984 pour le Cameroun, et aux portes d’entrée en terre promise pour Israël (No 14,10-33) » ;
Que dans le livre « QUI EST PAUL BIYA POUR DIEU? », le Seigneur Dieu lui a révélé en cinq (05) points, de la page 109 à la page 116, « des faits qui font de Paul BIYA un homme spécial devant Dieu » ;
Que dans la lettre ouverte datée à Douala le 17 Avril 2025 dont il joint copie à la présente requête, lettre adressée à Monseigneur Samuel KLEDA, Archevêque de DOUALA, et à lui notifiée par acte d’huissier de justice le 28 Avril 2025, un entretien qu’il lui rapporte et qu’il avait eu avec le Seigneur Dieu dans la nuit du 07 mars 2025 à 23 heures et 26 minutes mérite d’être repris ici, dans son intégralité, tant il permet de comprendre non pas seulement la profondeur de la relation de Dieu avec le Prophète-Président, mais aussi la particularité du plan de Dieu pour le Cameroun ;
Que voici l’entretien qu’il rapportait à Monseigneur KLEDA qu’il CITE:
« Cette révélation a commencé le vendredi 07 mars 2025 vers 16 heures.
En effet, vers 16 heures du vendredi 07 mars 2025, je relisais ce que j’avais déjà écrit sur cette lettre et je n’étais pas complètement satisfait de mon travail. Alors j’avais tout abandonné pour sortir accompagner Jean Claude SIMO qui était venu me voir et discuter avec moi de l’évolution de mon travail.
En reprenant mon travail à 23 heures et 26 minutes alors que je me sentais toujours sans inspiration, je m’étais adressé au Seigneur Dieu en ces termes: « Ton prophète Paul BIYA sur qui j’écris tout ceci est là, et il ne peut rien dire sur ce qui le concerne comment? »
Et le Seigneur de me répondre, instamment: « Je t’ai établi comme son Porte-parole, Chargé du suivi de l’accomplissement de sa 2e prophétie. Et puis, rappelle-toi ce que je t’ai fait écrire en mars 2023 sur ce qui s’était passé entre mon prophète Daniel et le roi de Babylone NEBUCADNESTSAR. »
Il est vrai qu’à Bafoussam, le 30 janvier 2025 dans la soirée, le Seigneur m’avait déjà dit, sans que j’en mesure réellement toute la portée, ce qui suit: « Mon serviteur Paul BIYA à la tête de votre pays est en même temps mon Prophète, mais c’est à toi de rappeler la prophétie qu’il a annoncée de ma part, et d’en suivre l’exécution. Désormais, tu es donc « Le Porte-parole du Prophète-président Paul BIYA, Chargé du Suivi de l’accomplissement de sa 2e prophétie » » (cf. page 16) ;
(…) Après avoir lu tout ceci dans les pages 64 à 66 du « Volume 1 de LE LOUP EST DANS LA BERGERIE », je lui avais alors demandé ce qui suit: « comme il en est ainsi, je te prie de te souvenir de ma prière pour laquelle j’ai engagé toute l’église catholique, par le sacrifice de ton fils, à m’accompagner pour te la présenter, d’ailleurs à ta propre demande, le dimanche 05 janvier 2025 ».
A peine avais-je terminé qu’instamment il m’avait révélé des choses extraordinaires sur la nature et la profondeur de sa relation avec le Président Paul BIYA, en me disant ce qui suit, ET JE CITE:
« a/ D’abord, tu as écrit toi-même que « sur le trajet de sa révélation à l’humanité depuis Moïse jusqu’à ce jour, l’Eternel Dieu n’aura accordé en 3 000 (trois mille) ans et plus de son histoire avec l’homme, la grâce de quarante (40) ans de règne qu’à six (06) de ses Serviteurs: cinq (05) sous l’Ancien Testament que sont Moïse, Éli le juge, le premier roi d’Israël Saül, le roi David et le roi Salomon, et Paul BIYA, le seul sous le Nouveau Testament. Pour Paul BIYA comme pour Moïse, ce délai court à partir du soulèvement du peuple contre l’oint de Dieu, le 06 avril 1984 pour le Cameroun, et aux portes d’entrée en terre promise pour Israël (No 14,10-34). »
« Pour moi, me dit le Seigneur, Paul BIYA est donc le Successeur de Salomon et le Cameroun est le successeur d’Israël avant qu’il ne se fractionne en deux parties après le roi Salomon. »
b/ Ensuite, tu as constaté toi-même que « ni Salomon, ni David et encore moins Saül qui avait inauguré le règne des rois en Israël n’étaient prophète comme Paul BIYA. (Et) que Paul BIYA a donc repris les deux fonctions que Samuel seul cumulait encore. »
« Pour moi, me dit le Seigneur,Paul BIYA est donc le successeur de Samuel ».
c/ Enfin, tu as dit toi-même que « « Le Cadre Amiable » renferme une Alliance que Dieu a conclue avec Paul BIYA pour le bien du peuple camerounais et de l’humanité toute entière (…) et qu’à ce titre son Statut l’identifie plutôt à celui de Moïse avec qui Dieu avait fait Alliance pour conduire vers la terre promise le peuple qu’il s’était choisi parmi les peuples du monde. »
« Cela est exact, me dit le Seigneur,car les maux dont j’ai frappé les populations du Cameroun pour avoir attenté à la vie de mon prophète Paul BIYA le 06 Avril 1984 sont à l’identique des serpents brûlants par lesquels j’avais fait périr devant Moïse, dans le désert, le peuple hébreu qui avait attenté à la vie de mon prophète Moïse »
Douala, le vendredi 07 Mars 2025 » (FIN DE CITATION)
Et puis, le dimanche matin 09 Mars 2025 à 10 heures 37 minutes, je chauffais de l’eau pour prendre une tasse de café noir avant de reprendre mon travail suspendu ce matin-même, à 05 heures 30 minutes, lorsque le Seigneur Dieu était revenu pour me dire ceci:
« Je vais t’aider à conclure ta lettre: Le Loup que tu as dit être dans la Bergerie représente, pour les Camerounais, ‘’les serpents brûlants’’ par lesquels je faisais périr dans le désert, devant Moïse, le peuple d’Israël rebelle contre mon prophète Moïse et contre moi. Le loup qui se métamorphose est, tu l’as dit toi-même, votre système bancaire extraverti et esclavagiste. »
Vingt et une (21) minutes plus tard, à 10 heures 58 minutes, il était revenu et avait poursuivi en me disant ceci:
« Le serpent d’airain que se fit Moïse dans le désert, à ma demande, pour sauver ceux du peuple hébreu qui étaient mordus par « les serpents brûlants » est, à l’identique, « Le cadre amiable » que j’ai demandé à mon Serviteur Paul BIYA de se faire construire, afin que quiconque est floué par sa Banque y ait recours pour obtenir justice et soit sauvé. » (FIN DE CITATION)
Mais ce n’est pas de tout ceci que je voulais vous parler ici, puisque le sujet qui nous préoccupe est ailleurs.
Ce qui nous intéresse, en effet, vient de ce que l’extrême profondeur de cette révélation et l’extrême spontanéité de la réaction du Seigneur, qui cette fois-ci m’avaient marqué beaucoup plus que toutes les autres fois, avaient fait réagir le Seigneur pour qu’il m’apprenne une autre chose extrêmement plus merveilleuse: c’est qu’à Douala je me trouve dans un SANCTUAIRE qu’il a établi entre lui et moi, c’est-à-dire un SANCTUAIRE où je suis beaucoup plus proche de lui que partout ailleurs, un LIEU SACRÉ où il m’écoute beaucoup mieux que partout ailleurs.
Ça, depuis le 28 novembre 2011 qu’il m’avait appelé et consacré à son service, il ne me l’a jamais fait savoir.
Quand je constate que je suis parti de Douala à la fin du mois de novembre 2023 et qu’il m’est arrivé de passer plus de six (06) mois d’affilé à Bafoussam sans pouvoir faire le moindre déplacement à Douala, je dois conclure que, depuis le 05 janvier 2025, le Seigneur m’a fait tourner à Douala par trois reprises afin de me faire cette révélation.
Et pour cette dernière fois, à ce que j’ai compris, il fallait que le séjour soit beaucoup plus long et parsemé de beaucoup plus d’embûches pour que je sois emmené à crier à lui afin qu’il laisse jaillir sur moi et dans TOUTE sa splendeur l’éclat de son AMOUR et de son SOUTIEN pour moi.
Voici la deuxième situation: le Seigneur Dieu avait décidé, dès l’instant où il m’avait fait connaître qu’il avait établi un sanctuaire à Douala pour que j’y sois proche de Lui, de « TRANSFÉRER » ce SANCTUAIRE à BAYANGAM.
Dès ce moment qu’il m’avait fait connaître ce secret, le Seigneur avait entrepris à me montrer comment il était en train de transférer ce SANCTUAIRE à BAYANGAM pour couvrir de sa toute puissance les deux grands chantiers de la mission qu’il m’a confiée.
En effet, en quelques jours, il avait fait évoluer le « POSTE SPÉCIAL DE SERVICE RELIGIEUX POUR « LE CADRE AMIABLE » DU QUARTIER MADAGASCAR » pour le faire devenir, dans la journée de mardi 11 mars 2025, le « SANCTUAIRE DE DIEU POUR LE CADRE AMIABLE ET L’OUVERTURE D’UN DEBAT SUR LA SPIRITUALITE DE L’ETAT DU CAMEROUN COUVRANT LE DOMAINE PRIVÉ DE L’ETAT SUR LEQUEL EST IMPLANTÉE LA SOUS-PRÉFECTURE DE BANGOU ET TOUT LE VILLAGE TOUGOUE-MPOU, DANS BAYANGAM »
Et en me confirmant cette bonne nouvelle les samedi 15 et dimanche 16 mars 2025, le Seigneur Dieu me révélait en même temps les premiers ouvriers qu’il a désignés pour le servir dans ce sanctuaire. Ce sont: (…) » (FIN DE CITATION)
Que de ce qui précède, toutes les raisons de constater que le Prophète Paul BIYA est l’égal du Prophète Moïse sont établies et claires, le peuple camerounais étant ainsi choisi par le Seigneur Dieu pour être son peuple que Israël a refusé d’être ;
Que le mercredi 14 Mai 2025 à 05 heures 03 minutes, le Seigneur lui révélait que « Moïse avait pour mission de préparer son peuple à la rencontre du Seigneur Jésus-Christ, Paul BIYA a pour mission de ramener l’humanité au Seigneur » ;
Qu’en tout état de cause, le statut sacerdotal de Paul BIYA qui est un prophète de Dieu, exige que le Conseil constitutionnel intervienne d’urgence, en tant qu’organe régulateur du fonctionnement des institutions, pour prendre les décisions nécessaires pour les adapter à la situation inédite qui se présente actuellement;
Attendu en effet qu’aux termes de l’article 46 de la constitution « Le Conseil constitutionnel est l’instance compétente en matière constitutionnelle. Il statue sur la constitutionnalité des lois. Il est l’organe régulateur du fonctionnement des institutions » ;
Qu’il suit que le Conseil constitutionnel a compétence pour statuer sur la présente requête ;
Attendu que l’article 65 de la constitution dispose que « le préambule fait partie intégrante de la constitution » et que des paragraphes du préambule de la constitution disposent que « (…) Nul ne peut être inquiété en raisons de ses origines, de ses opinions ou croyance en matière religieuse, (…) sous réserve du respect de l’ordre public et des bonnes mœurs ; L’État est laïc. La neutralité et l’indépendance de l’État vis-à-vis de toutes les religions sont garanties ; La liberté du culte et le libre exercice de sa pratique sont garantis ; (…) » ;
Qu’il suit que l’Étatdu Cameroun qui garantit à tout citoyen la liberté du culte et le libre exercice de sa pratique, sous réserve du respect de l’ordre public et des bonnes mœurs, s’engage ainsi à faire respecter et exécuter, par tout membre d’une quelconque religion, les engagements qu’il a pris dans ses croyances envers son Dieu, le respect et la protection de l’ordre public passant nécessairement par-là, afin d’éviter à la population camerounaise toute entière d’avoir à subir la foudre de la colère de Dieu qui s’abattrait, non plus seulement sur ceux qui l’ont invoqué et ont ensuite enfreint les exigences qu’il impose à tous ses fidèles, mais sur tous les Camerounais sans discernement ;
Attendu que les versets 22 et 23 du chapitre 3 du livre des Actes des Apôtres dans la BIBLE disposent: « Moïse a dit: Le Seigneur votre Dieu suscitera pour vous, d’entre vos frères, un prophète comme moi; vous l’écouterez dans tout ce qu’il vous dira. Et quiconque n’écoutera pas ce prophète sera exterminé du milieu du peuple » ;
Attendu que Paul BIYA qui se trouve à la tête de l’Etat du Cameroun depuis plus de quarante (40) se trouve être révélé maintenant comme un grand prophète de Dieu, de même rang que Moïse ;
Qu’il suit que quiconque se portera candidat contre le prophète Paul BIYA à l’élection présidentielle à venir mourra tout comme quiconque votera contre lui mourra, exterminé par le Saint-Esprit (La BIBLE, Actes des Apôtres 3, 22-23) ;
Que cette loi divine s’applique au Prophète Président de la République Paul BIYA lui-même et qu’il ne saurait convoquer le corps électoral pour l’élection présidentielle pour appeler le peuple à lutter contre la volonté de Dieu qui l’a placé sur le fauteuil présidentiel sans se faire exterminer lui aussi par le Saint-Esprit ;
Attendu cependant que les articles 6 alinéa 6 de la constitution et 86 alinéa 1 de la loi n° 2012/001 du 19 avril 2012 Portant code électoral, modifiée et complétée par la loi n°2012/017 du 21 décembre 2012 disposent respectivement que « le régime de l’élection à la présidence de la République est fixé par la loi » et que « Le corps électoral est convoqué par décret du Président de la République » ;
Qu’il suit que ces dispositions de la loi humaine heurtent de front les versets 22 et 23 du chapitre 3 du livre des Actes des Apôtres de la BIBLE, la loi divine qui lui est supérieure ;
Que le Conseil constitutionnel doit par conséquent user de la compétence que lui reconnaît la constitution comme « organe régulateur du fonctionnement des institutions » pour rendre les décisions qui conviennent pour ces faits qu’il lui expose;
Attendu s’agissant de sa qualité qu’il ressort suffisamment de ce qui précède que le Seigneur Dieu l’a appelé et lui a confié la mission qui a le conduit aujourd’hui à introduire la présente requête en vue d’accomplir son plan pour vaincre les maux qui minent notre pays et nous maintiennent dans la pauvreté ;
Attendu que cette intervention du Seigneur Dieu est l’exhaussement de prières de huit (08) sources différentes, dont celle du Président Paul BIYA lui-même ;
Que dans les pages 43 et 44, puis 91 à 98 de « QUI EST PAUL BIYA POUR DIEU ? », le Seigneur Dieu nous révèle effectivement que son intervention libératrice contre les maux dont nous souffrons si atrocement est l’exhaussement des prières de huit (08) sources différentes, dont:
1°/ La prière et les supplications des EPARGNANTS, des orphelins et des veuves exprimées dans leurs souffrances, dans leurs soupires et cris de douleurs atroces, causées par les fermetures organisées des banques et des microfinances dans notre pays pour emporter leurs économies, souvent fruit de toute une vie de dure labeur ; ainsi que les souffrances et les prières des victimes des autres risques bancaires individuels, brisées et anéanties par des pratiques bancaires obscures et esclavagistes telles que les crédits bancaires viciés pour arracher leurs immeubles apportés en garantie de ces crédits bancaires ou tout simplement pour les briser et bloquer le développement de nos pays ;
2°/ La « Prière des Evêques du Cameroun contre la corruption au Cameroun-2001 » ;
3°/ Et la prière, implicite et peut-être même inconsciente, mais réelle et manifeste, du Président de la République Paul BIYA lui-même qui, dans son traditionnel message de fin d’année au peuple camerounais au soir du 31 décembre 2011, avait déclaré qu’il faisait « de la relance une véritable cause nationale » et lancé, par cette déclaration, un véritable S.O.S tant à chacun de ses compatriotes qu’à l’Eternel Dieu siégeant au milieu des louanges des populations du Cameroun pour nous inviter à nous mobiliser en conséquence pour cette cause, chacun selon ses compétences ; etc.
Attendu que dans les pages 15 à 21 du « Volume introductif de LE LOUP EST DANS LA BERGERIE » il est exposé comment le 28 novembre 2011 il répondait à l’appel que Dieu lui avait lancé pour la cause qui le conduit aujourd’hui à la présente requête ;
Qu’il en ressort également que la réponse qu’il avait donnée à l’appel d’ordre spirituel dont il venait de faire l’objet est la même qu’il devait donner un mois plus tard à un autre appel, lancé au plan humain par le Président de la République Paul BIYA qui, au soir du 31 décembre 2011 dans son traditionnel message de fin d’année à la Nation, avait déclaré qu’il faisait de la relance économique « une véritable cause nationale » et appelé son peuple à se mobiliser en conséquence, chacun selon ses compétences ;
Que répondant à cet appel du Président de la République il avait consacré depuis lors, dans son domaine de compétence ainsi défini par le Dieu Très Haut, les huit (08) dernières années de sa vie aux travaux de recherches qui ont fait davantage de lumière sur les risques bancaires collectifs susvisés, et que c’est à l’occasion de son combat engagé en novembre 2011 aux côtés des victimes des Banques et des Microfinances qui ont fermé leurs portes au Cameroun ces dernières décennies qu’il avait découvert, en mars 2013 pour alors l’exhumer et la mettre en lumière, l’ordonnance N°003 du 27 avril 1990 du Président de la République instituant « LE CADRE AMIABLE » qui doit restituer aux EPARGNANTS l’entièreté de leurs dépôts bloqués dans les banques en liquidation, avec leurs intérêts ;
Qu’il y est dit également que les trois principes que le Président Biya expose dans son livre « POUR LE LIBERALISME COMMUNAUTAIRE » comme constituant sa vision à la tête de l’Etat du Cameroun forment, en effet, avec « LE CADRE AMIABLE », la solution qui doit être mise en œuvre pour nous sortir de la pauvreté et de la misère, et porter le Cameroun et toute la sous-région CEMAC à l’émergence ;
Qu’en d’autres termes entreprendre de construire « LE CADRE AMIABLE » institué par le Président Paul BIYA relève d’une matérialisation concrète, dans les faits, de sa théorie socio-économique exposée dans son livre « POUR LE LIBERALISME COMMUNAUTAIRE » ;
Attendu que l’appel au patriotisme économique lancé par le Prophète-président est bel et bien un mandat donné à tout Camerounais ayant une quelconque solution à proposer pour faire décoller le Cameroun ;
Que l’ordonnance n°003 du 27 avril 1990 instituant « Le cadre amiable » qui se révèle être la pierre d’angle pour faire décoller le Cameroun est un acte présidentiel oublié par tous ses gouvernements successifs mais qui a été exhumé par le Seigneur Dieu pour lui offrir dans le cadre de l’exécution de ce mandat dont il fait œuvre utile maintenant pour lui rendre compte de plus de quatorze ans de travaux sur ce sujet;
Attendu que beaucoup d’autres informations restent à produire sur la question ;
Qu’il se réserve de les produire incessamment ;
PAR CES MOTIFS :
Et ceux que nous allons ajouter pour expliciter le plan de Dieu pour l’accomplissement de la 2e prophétie de son prophète le Président Paul BIYA, à savoir « apporter à son pays la prospérité » ;
Vu les versets 18 à 22 du chapitre 18 du livre de Deutéronome dans la BIBLE, les 22 et 23 du chapitre 3 du livre des Actes des Apôtres dans la BIBLE, la déclaration du Président Paul BIYA le 09 juin 2004 selon laquelle il sera toujours en vie dans vingt ans et sa longévité de 40 ans au pouvoir;
Dire qu’il est un prophète de Dieu de même rang que Moïse;
Vu les articles 6 alinéa 6 de la constitution et 86 alinéa 1 de la loi n° 2012/001 du 19 avril 2012 Portant code électoral, modifiée et complétée par la loi n°2012/017 du 21 décembre 2012 qui disposent respectivement que « le régime de l’élection à la présidence de la République est fixé par la loi » et que « Le corps électoral est convoqué par décret du Président de la République » ;
Constater que le Président Paul BIYA, Prophète de Dieu, ne peut pas convoquer le corps électoral pour l’élection présidentielle sans violer les versets 22 et 23 du chapitre 3 du livre des Actes des Apôtres dans la BIBLE et se faire exterminer par le Saint-Esprit et perdre son âme ;
DÉCLARER que les dispositions combinées des articles 6 alinéa 6 de la constitution et 86 alinéa 1 de la loi n° 2012/001 du 19 avril 2012 Portant code électoral, modifiée et complétée par la loi n°2012/017 du 21 décembre 2012 qui habilitent le Président de la République à convoquer le corps électoral pour l’élection présidentielle sont inconstitutionnelles ;
ORDONNER en conséquence la suspension de l’élection présidentielle et la révision de la constitution dans le strict respect du plan de DIEU pour l’accomplissement de la prophétie annoncée le 21 juillet 1990 par le Prophète-Président Paul BIYA au micro de Yves MOUROUSI de Radio Monté Carlo, « que l’histoire retiendra de lui l’image de l’homme qui a apporté à son pays (…) la prospérité » ;
Sous toutes réserves
Douala, le 04 Juin 2025